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les exportations ont présenté leur second plus important résultat mensuel jamais atteint. En baisse de 1,7%, les importations ont frisé la barre des 17 milliards de francs. La chimie-pharma a grandement impacté les deux directions du trafic.
mois d’affilée. En baisse de 4,3% sur un mois, elles sont passées sous la barre des 19 milliards de francs. Les importations ont en revanche progressé de 3,4% et ainsi retrouvé leur niveau du début d’année. La balance commerciale boucle
ont plongé de 5,0% en février 2020 et poursuivent ainsi sur leur tendance négative entamée en septembre 2019. Les importations ont faibli de 1,4%. La balance commerciale boucle avec un excédent de 2,0 milliards de francs. Commerce extérieur
de coronavirus a également impacté le commerce extérieur suisse. En avril 2020, tant les exportations que les importations ont subi une baisse majeure. En termes désaisonnalisés, les sorties ont chuté de 11,7% et les entrées de 21,9%.
Après son revers historique du mois précédent, le commerce extérieur a retrouvé quelques couleurs en mai 2020. Les importations ont affiché une hausse désaisonnalisée de 9,8% à 13,6 milliards de francs ; elles se situent toutefois encore
du trafic. En termes désaisonnalisés, les exportations se sont accrues de 1,1% à 17,7 milliards de francs et les importations de 2,5% à 15,1 milliards de francs. Par rapport à la même période de l’année précédente, leur niveau s’est
tarifaire n° 31 dans l’ordonnance du 26 octobre 2011 sur l’importation de produits agricoles (ordonnance sur les importations agricoles, OIAgr ; RS 916.01). Vous trouvez le communiqué de presse ainsi que les informations relatives aux
suisse a battu de l’aile. En termes désaisonnalisés, les exportations ont stagné (-0,4%) pendant que les importations reculaient de 3,3%. Le ralentissement enregistré depuis cet été dans les deux directions du trafic s’est ainsi
hausse dans les deux directions du trafic. En termes désaisonnalisés, les exportations ont progressé de 4,8% et les importations de 4,2%. En baisse au cours des deux mois précédents, les exportations ont repris le chemin de la croissance. La
fouet les conséquences de la pandémie de COVID-19 : les exportations (-7,1% à 225,1 milliards de francs) et les importations (-11,2% à 182,1 milliards) ont affiché une baisse historique. Jamais elles n’avaient accusé un revers trimestriel
avoir débuté l’année de manière positive, les exportations ont viré au rouge en février (-1,0%) pendant que les importations restaient à leur niveau du mois précédent. Les échanges font ainsi du surplace depuis la seconde moitié 2020. La
en mars, les exportations ont stagné en avril, évoluant toutefois à un haut niveau de 20 milliards de francs. Les importations ont confirmé leur vitalité des mois précédents, en hausse de 3,5% à 16,8 milliards de francs (réel : +2,2%). La
repartent à la hausse (AFD) - En mai, la tendance positive des exportations (+3,5%) s’est poursuivie pendant que les importations faiblissaient de 1,6%. Les sorties ont par ailleurs fixé un nouveau pic historique mensuel à 20,8 milliards de
piétinent (AFD) - En juillet 2021 et après désaisonnalisation, les exportations ont stagné pendant que les importations augmentaient de 1,7%. Les échanges avec l’Europe ont progressé dans les deux directions du trafic. L’excédent
dans les deux directions du trafic : par rapport à juillet 2021, les exportations se sont renforcées de 2,1% et les importations de 1,2%. Le rythme de croissance différent à l’entrée et à la sortie a induit un nouvel excédent record de la
- En octobre 2021, le commerce extérieur suisse a perdu de sa vigueur. Les exportations ont faibli de 1,4% et les importations de 2,3% par rapport au mois précédent. Le secteur des produits chimiques et pharmaceutiques a plombé le résultat
2021, le commerce extérieur suisse a fait preuve de dynamisme. Les exportations se sont renforcées de 4,0% et les importations même de 5,6% par rapport au mois précédent. Le secteur des produits chimiques et pharmaceutiques a une fois encore
la première fois à l’étranger. S’imposer sur le marché suisse avec des produits de qualité en contrant les importations de denrées alimentaires et s’implanter sur des marchés de niche à l’étranger avec des spécialités et des
les domaines suivants : choix de variétés, recherche, assurance qualité, estimation de récolte, réglementation des importations, conditions de prise en charge, dispositions de prix indicatifs, mesures publicitaires et encore beaucoup d’autres.
commerciale excédentaire pour la 1ère fois depuis 5 ans 03.03.2015 Russie: le recul est seulement de 6% entre les importations 2013 et 2014 03.03.2015 Espagne: repli en 2014 de la valeur des exportations 26.02.2015 Ces pays qui s'alimentent le
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